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Assemblée Générale de l'APRETS 2024
L'assemblée générale de l'association APRETS s'est tenue avec une série d'événements marquants :
1- Compte rendu de l'année 2024 :
- Repas au Clos Vigny, restaurant du Clos d’Or, le 25 janvier 2024:
Nous avons retrouvé le chemin du restaurant d'application du Clos Vigny pour le traditionnel repas d'hiver où
le menu surprise élaboré par les élèves et leur professeur fut comme toujours apprécié.
- Le 11 avril 2024 les 50 ans du Lycée DESCHAUX :
Une journée bien sympathique où les anciens élèves, les professeurs actifs et retraités, les professionnels et le
personnel administratif ont pu se rencontrer et évoquer les bons moments passés.
- Le 18 mai 2024 à Civrieux d’Azergues au Jardin de nous deux :
C’est un lieu surprenant dû à la passion d’un couple pour retranscrire ses voyages et ses passions dans son
jardin, à l’image de ce qu’a fait le facteur Cheval. Ici les palais sont plus petits, mais fourmillent de détails. On
imagine la patience qu’il a fallu pour créer tout cet univers. Stéphanie est très accueillante et on ne rechigne
pas à payer un modeste droit d’entrée ne serait-ce que pour aider le couple de nouveaux propriétaires à
restaurer cet endroit.
Visite suivie d’un repas à la Tablée Médievale.
- Le 5 novembre à Saint Chef :
L’histoire de ce village est complétement imbriquée à celle de son abbaye bénédictine classée Monument
Historique depuis 1840. Le plus grand joyau de l’abbatiale en est, sans conteste, les fresques romano byzantines du XIIème siècle de la Chapelle des Anges. La figure du Christ en majesté ou la merveilleuse scène
de la Jérusalem céleste suscitent l’admiration de tous et l’intérêt passionné d’éminents spécialistes bien au delà de nos frontières.
La cité abbatiale est aussi connue pour être le berceau de personnages illustres comme le comédien sociétaire
de la Comédie Française, Louis Seigner et l’écrivain Frédéric Dard qui y est inhumé. Pour ce bon vivant, père
de San-Antonio, être enterré dans les terres viticoles des Balmes Dauphinoises le rapproche sans nul doute de
la Jérusalem Céleste !
Cette journée se termine par un repas chez Monique à la Taverne Rustique.
2 - 10h30 : Mme le Proviseur a pris la parole pour partager les dernières informations concernant le Lycée Deschaux.
Décisions importantes :
Nomination du bureau et reconduite de celui-ci
Augmentation de la cotisation annuelle, validée à l'unanimité, passant de 25€ à 30€.
Révision des tarifs pour les sorties, désormais fixés à 60€ au lieu de 50€.
3 - 12h00 : Un apéritif convivial s'est déroulé en salle des Professeurs, suivi à 13h00 par un repas convivial à la cafétéria du lycée.
Les participants ont également l'occasion de découvrir les photos souvenirs de cette chaleureuse journée sur le site .
"Les membres du bureau vous souhaitent de bonnes fêtes de fin d'année"
" A vos agendas " !!!
Comme chaque année notre repas annuel au Clos d'Or aura lieu le mercredi 22 janvier 2025 à 12h00, au prix de 29,50€ (incluant apéritif, repas avec fromage et café). Merci de confirmer votre présence avant le 6 janvier 2025 au plus tard.
Article rédigé par Jean-Claude Lamarche dans le travailleur Alpin pour les 50 ans du Lycée.
Les 50 ans du Lycée Roger Deschaux de Sassenage
Egale dignité ?
C’est en 1985 que fut ouvert à Seyssinet-Pariset le Lycée Aristide Bergès et l’on a pu entendre, à cette occasion, le Recteur de l’académie de Grenoble se féliciter de l’implantation du premier lycée de l’agglomération grenobloise sur la rive gauche du Drac.
Ce fut l’occasion, pour les représentants syndicaux des personnels, d’informer le Recteur qu’il y avait depuis 1974 à Sassenage un « Lycée du bâtiment et des travaux publics », lycée technologique avec des sections professionnelles, dont il semblait ignorer l’existence.
Une ignorance qui aurait intéressé les psychanalystes car, malgré les beaux discours des responsables au plus haut niveau de l’Education nationale sur « l’égale dignité » des enseignements, il restait dans leur inconscient, des enseignements plus, et donc aussi moins, égaux que d’autres. Les moins étant justement ces enseignements délivrés dans les lycées techniques et professionnels, et les moins des moins étant les enseignements des métiers du bâtiment.D’ailleurs, sauf exception confirmant la règle, on ne rencontre aucun de leurs enfants dans ces filières de formation.
Un peu d’histoire
Jusqu’au début des années 70, des sections professionnelles du bâtiment existaient au lycée Ferdinand Buisson de Voiron et d’autres étaient accueillies dans des locaux de l’ancienne mairie de Sassenage, le Château des Blondes, et ce fut la volonté du Maire de l’époque, Roger Deschaux, de créer un lycée technologique regroupant les formations aux CAP et BEP (y compris en remontées mécaniques) et de nouvelles filières conduisant aux baccalauréats technologiques Génie civil, Chauffage et climatisation, ainsi qu’au brevet de technicien du bâtiment, puis, au-delà, vers des Brevets de techniciens supérieur. C’est ainsi qu’apparurent dans le paysage ces immeubles bleus, à la limite de Fontaine et Sassenage, pour lesquels beaucoup de béton fut coulé (bonjour le bilan carbone !), revêtus de mosaïque couleur de ciel, bâtiments aujourd’hui bien dégradés et dont la destruction suivie d’une nouvelle construction semble programmée par la Région Rhône-Alpes.
C’est Roger Deschaux lui-même, par ailleurs membre de l’Education nationale, qui devint le premier proviseur du Lycée, deuxième raison pourquoi son nom fut donné au lycée quelques temps après sa mort.
Malgré les vicissitudes, cinquante ans d’une vie bien remplie
Le proverbe dit « quand le bâtiment va, tout va ! ». Il exprime une réalité que chacun doit avoir en tête, le bâtiment c’est 50% des emplois industriels en temps normal, et c’est un secteur qui en tire beaucoup d’autres derrière lui : matériaux de construction, métallurgie, appareils de chauffage, menuiserie et charpente, vitrerie, matériel électrique, peinture… et maintenant pompes à chaleur, panneaux solaires, isolation… C’est un secteur qui subit parfois des crises, mais qui reste riche en emplois et qui recrute. Et, l’évolution des technologies fait que là aussi, les emplois sont de plus en plus qualifiés. Pendant 50 ans, le lycée de Sassenage a répondu à ces besoins de qualification et beaucoup d’entreprises, des plus grosses aux plus artisanales n’ont eu qu’à s’en féliciter.
Longtemps, ce lycée du bâtiment a été une exception dans le sud-est de la France et son recrutement géographique s’étendait très loin, d’où la nécessité d’un internat important, avec beaucoup d’élèves pensionnaires et demi-pensionnaires, beaucoup de surveillants d’externat et d’internat. Et des problèmes de mixité car il y avait aussi des filles et il y en a toujours.
Quant aux problèmes d’intendance, ils ont été permanents, notamment du fait de la collecte de moyens pour le bon fonctionnement de l’établissement par le biais de la taxe d’apprentissage versée par les entreprises qui ont une tendance naturelle à la conserver pour financer des formations par apprentissage qu’elles peuvent parfois mettre en place ou pour favoriser tel ou tel établissement de formation pas nécessairement laïque ou public. Ce qui pouvait transformer des enseignants, chefs de travaux, chefs d’établissement… en collecteur d’impôts.
Ils étaient pourtant beaucoup plus dans leur rôle quand ils créaient de nouvelles voies de formation, de nouveaux contenus pour de nouveaux diplômes, quand ils contribuaient ainsi à créer de nouvelles voies de réussite pour les élèves, de nouvelles voies d’accès à l’enseignement supérieur, à la démocratisation de l’enseignement.
Une bonne partie des élèves, dans toutes les sections, étaient des enfants de professionnels du bâtiment, motivés, mais il a toujours été difficile de faire venir d’autres élèves, pour cause de mauvaise réputation (pour des raisons diverses) des métiers du bâtiment et beaucoup sont venus à la suite d’une « orientation par défaut ». Mais ne l’ont pas regretté en général.
La présence, lors de cet anniversaire, d’anciens élèves a confirmé la qualité de la formation donnée, professionnelle mais aussi générale qui permet à ceux qui l’ont reçue de s’adapter à de nouvelles fonctions, des fonctions d’encadrement ou commerciales, ou de s’installer comme artisan, de devenir chef d’entreprise… Ceux qui sont venus, nombreux, sont heureux de revoir les anciens professeurs ou personnels d’administration et de service qui sont en retraite et qui n’ont pas manqué cet événement où la nostalgie est palpable.
Aujourd’hui, les voies technologiques spécifiques du bâtiment et des travaux publics ont pratiquement disparu pour des raisons d’économies budgétaires, mais le lycée permet aux jeunes d’accéder à des diplômes professionnels qui vont du CAP au BTS, et même à la licence. Avec une rénovation des locaux qui semble actée, avec un large éventail de formations existantes ou à créer, l’avenir du lycée Roger Deschaux semble bien assuré.
Ceux qui prendront la bonne décision d’y effectuer leurs études ne manqueront pas de débouchés. N’hésitez pas jeunes gens !
Le public présent
Il y avait du monde pour fêter cet anniversaire, avec des enseignants, des personnels de toutes catégories, beaucoup de retraités qui adhèrent presque tous à l’Association des personnels retraités de l’enseignement technique de Sassenage (APRETS), sans doute la seule association de retraités d’un lycée de l’académie de Grenoble aussi nombreuse et dynamique.
Il y avait la proviseure Emmanuelle Vernet-Abaibon agréablement surprise de la réussite de cette célébration, l’adjoint du Recteur(directeur académique adjoint), des représentants de la municipalité, des professionnels et des parents, beaucoup d’élèves qui avaient aussi travaillé à la préparation de cette journée, en particulier en réalisant une enseigne géante pour le lycée dont les caractères ont été fabriqués grâce aux techniques enseignées,… et bien d’autres.
C'est le jeudi 11 avril 2024 que le lycée Roger DESCHAUX a fêté ses 50 ans. Quelque photos de la soirée sont jointes dans "photos des Sorties"
- Repas au Clos Vigny, restaurant du Clos d’Or, le 25 janvier 2024: Nous avons retrouvé le chemin du restaurant d'application du Clos Vigny pour le traditionnel repas d'hiver où le menu surprise élaboré par les élèves et leur professeur fut comme toujours apprécié.
- Le 11 avril 2024 les 50 ans du Lycée DESCHAUX : Une journée bien sympathique où les anciens élèves, les professeurs actifs et retraités, les professionnels et le personnel administratif ont pu se rencontrer et évoquer les bons moments passés.
- Le 18 mai 2024 à Civrieux d’Azergues au Jardin de nous deux : C’est un lieu surprenant dû à la passion d’un couple pour retranscrire ses voyages et ses passions dans son jardin, à l’image de ce qu’a fait le facteur Cheval. Ici les palais sont plus petits, mais fourmillent de détails. On imagine la patience qu’il a fallu pour créer tout cet univers. Stéphanie est très accueillante et on ne rechigne pas à payer un modeste droit d’entrée ne serait-ce que pour aider le couple de nouveaux propriétaires à restaurer cet endroit. Visite suivie d’un repas à la Tablée Médievale.
- Le 5 novembre à Saint Chef : L’histoire de ce village est complétement imbriquée à celle de son abbaye bénédictine classée Monument Historique depuis 1840. Le plus grand joyau de l’abbatiale en est, sans conteste, les fresques romano byzantines du XIIème siècle de la Chapelle des Anges. La figure du Christ en majesté ou la merveilleuse scène de la Jérusalem céleste suscitent l’admiration de tous et l’intérêt passionné d’éminents spécialistes bien au delà de nos frontières. La cité abbatiale est aussi connue pour être le berceau de personnages illustres comme le comédien sociétaire de la Comédie Française, Louis Seigner et l’écrivain Frédéric Dard qui y est inhumé. Pour ce bon vivant, père de San-Antonio, être enterré dans les terres viticoles des Balmes Dauphinoises le rapproche sans nul doute de la Jérusalem Céleste ! Cette journée se termine par un repas chez Monique à la Taverne Rustique.
2 - 10h30 : Mme le Proviseur a pris la parole pour partager les dernières informations concernant le Lycée Deschaux.
Décisions importantes :
Nomination du bureau et reconduite de celui-ci
Augmentation de la cotisation annuelle, validée à l'unanimité, passant de 25€ à 30€.
Révision des tarifs pour les sorties, désormais fixés à 60€ au lieu de 50€.
3 - 12h00 : Un apéritif convivial s'est déroulé en salle des Professeurs, suivi à 13h00 par un repas convivial à la cafétéria du lycée. Les participants ont également l'occasion de découvrir les photos souvenirs de cette chaleureuse journée sur le site .
"Les membres du bureau vous souhaitent de bonnes fêtes de fin d'année"
Comme chaque année notre repas annuel au Clos d'Or aura lieu le mercredi 22 janvier 2025 à 12h00, au prix de 29,50€ (incluant apéritif, repas avec fromage et café). Merci de confirmer votre présence avant le 6 janvier 2025 au plus tard.
Article rédigé par Jean-Claude Lamarche dans le travailleur Alpin pour les 50 ans du Lycée.
Ce fut l’occasion, pour les représentants syndicaux des personnels, d’informer le Recteur qu’il y avait depuis 1974 à Sassenage un « Lycée du bâtiment et des travaux publics », lycée technologique avec des sections professionnelles, dont il semblait ignorer l’existence.
Une ignorance qui aurait intéressé les psychanalystes car, malgré les beaux discours des responsables au plus haut niveau de l’Education nationale sur « l’égale dignité » des enseignements, il restait dans leur inconscient, des enseignements plus, et donc aussi moins, égaux que d’autres. Les moins étant justement ces enseignements délivrés dans les lycées techniques et professionnels, et les moins des moins étant les enseignements des métiers du bâtiment.D’ailleurs, sauf exception confirmant la règle, on ne rencontre aucun de leurs enfants dans ces filières de formation.
Un peu d’histoire Jusqu’au début des années 70, des sections professionnelles du bâtiment existaient au lycée Ferdinand Buisson de Voiron et d’autres étaient accueillies dans des locaux de l’ancienne mairie de Sassenage, le Château des Blondes, et ce fut la volonté du Maire de l’époque, Roger Deschaux, de créer un lycée technologique regroupant les formations aux CAP et BEP (y compris en remontées mécaniques) et de nouvelles filières conduisant aux baccalauréats technologiques Génie civil, Chauffage et climatisation, ainsi qu’au brevet de technicien du bâtiment, puis, au-delà, vers des Brevets de techniciens supérieur. C’est ainsi qu’apparurent dans le paysage ces immeubles bleus, à la limite de Fontaine et Sassenage, pour lesquels beaucoup de béton fut coulé (bonjour le bilan carbone !), revêtus de mosaïque couleur de ciel, bâtiments aujourd’hui bien dégradés et dont la destruction suivie d’une nouvelle construction semble programmée par la Région Rhône-Alpes.
C’est Roger Deschaux lui-même, par ailleurs membre de l’Education nationale, qui devint le premier proviseur du Lycée, deuxième raison pourquoi son nom fut donné au lycée quelques temps après sa mort. Malgré les vicissitudes, cinquante ans d’une vie bien remplie Le proverbe dit « quand le bâtiment va, tout va ! ». Il exprime une réalité que chacun doit avoir en tête, le bâtiment c’est 50% des emplois industriels en temps normal, et c’est un secteur qui en tire beaucoup d’autres derrière lui : matériaux de construction, métallurgie, appareils de chauffage, menuiserie et charpente, vitrerie, matériel électrique, peinture… et maintenant pompes à chaleur, panneaux solaires, isolation… C’est un secteur qui subit parfois des crises, mais qui reste riche en emplois et qui recrute. Et, l’évolution des technologies fait que là aussi, les emplois sont de plus en plus qualifiés. Pendant 50 ans, le lycée de Sassenage a répondu à ces besoins de qualification et beaucoup d’entreprises, des plus grosses aux plus artisanales n’ont eu qu’à s’en féliciter.
Longtemps, ce lycée du bâtiment a été une exception dans le sud-est de la France et son recrutement géographique s’étendait très loin, d’où la nécessité d’un internat important, avec beaucoup d’élèves pensionnaires et demi-pensionnaires, beaucoup de surveillants d’externat et d’internat. Et des problèmes de mixité car il y avait aussi des filles et il y en a toujours.
Quant aux problèmes d’intendance, ils ont été permanents, notamment du fait de la collecte de moyens pour le bon fonctionnement de l’établissement par le biais de la taxe d’apprentissage versée par les entreprises qui ont une tendance naturelle à la conserver pour financer des formations par apprentissage qu’elles peuvent parfois mettre en place ou pour favoriser tel ou tel établissement de formation pas nécessairement laïque ou public. Ce qui pouvait transformer des enseignants, chefs de travaux, chefs d’établissement… en collecteur d’impôts.
Ils étaient pourtant beaucoup plus dans leur rôle quand ils créaient de nouvelles voies de formation, de nouveaux contenus pour de nouveaux diplômes, quand ils contribuaient ainsi à créer de nouvelles voies de réussite pour les élèves, de nouvelles voies d’accès à l’enseignement supérieur, à la démocratisation de l’enseignement. Une bonne partie des élèves, dans toutes les sections, étaient des enfants de professionnels du bâtiment, motivés, mais il a toujours été difficile de faire venir d’autres élèves, pour cause de mauvaise réputation (pour des raisons diverses) des métiers du bâtiment et beaucoup sont venus à la suite d’une « orientation par défaut ». Mais ne l’ont pas regretté en général.
La présence, lors de cet anniversaire, d’anciens élèves a confirmé la qualité de la formation donnée, professionnelle mais aussi générale qui permet à ceux qui l’ont reçue de s’adapter à de nouvelles fonctions, des fonctions d’encadrement ou commerciales, ou de s’installer comme artisan, de devenir chef d’entreprise… Ceux qui sont venus, nombreux, sont heureux de revoir les anciens professeurs ou personnels d’administration et de service qui sont en retraite et qui n’ont pas manqué cet événement où la nostalgie est palpable. Aujourd’hui, les voies technologiques spécifiques du bâtiment et des travaux publics ont pratiquement disparu pour des raisons d’économies budgétaires, mais le lycée permet aux jeunes d’accéder à des diplômes professionnels qui vont du CAP au BTS, et même à la licence. Avec une rénovation des locaux qui semble actée, avec un large éventail de formations existantes ou à créer, l’avenir du lycée Roger Deschaux semble bien assuré.
Ceux qui prendront la bonne décision d’y effectuer leurs études ne manqueront pas de débouchés. N’hésitez pas jeunes gens ! Le public présent Il y avait du monde pour fêter cet anniversaire, avec des enseignants, des personnels de toutes catégories, beaucoup de retraités qui adhèrent presque tous à l’Association des personnels retraités de l’enseignement technique de Sassenage (APRETS), sans doute la seule association de retraités d’un lycée de l’académie de Grenoble aussi nombreuse et dynamique.
Il y avait la proviseure Emmanuelle Vernet-Abaibon agréablement surprise de la réussite de cette célébration, l’adjoint du Recteur(directeur académique adjoint), des représentants de la municipalité, des professionnels et des parents, beaucoup d’élèves qui avaient aussi travaillé à la préparation de cette journée, en particulier en réalisant une enseigne géante pour le lycée dont les caractères ont été fabriqués grâce aux techniques enseignées,… et bien d’autres.